Enfin je sais pas s’il faut dire moins joli, d’autant que je n’ai pas vu les choses différemment mais... il faut savoir que là, le ciel pekinois est recouvert d’une sorte de pellicule désespérement blanche. Pas de nuages : une brume de pollution. Parait que c’est comme ca tout les étés. Du coup, il fait atrocement chaud sous un ciel bergmanien.
Heuresement, la ville recèle mille delices qui nous font passer outre ces conditions limites et notre tourista commune (enfin pas toujours pour cette derniere mais bon hein).
Pour vous donner un aperçu de cette blancheur colgate, une photo de la susnomée cité interdite depuis l’observatoire de Wangtruc :
Wouhou.